Le chapitre porte sur l’histoire de Hyori. Son père était médaillé d’argent en judo tandis que sa mère était deuxième au saut en longueur au Japon. Ses parents l’ont préparé à devenir le meilleur joueur de football du monde, bien avant qu’Ego ne trouve cela cool.
Nous voyons sa mère lui faire suivre un bon régime alimentaire et son père l’aider à s’entraîner depuis qu’il est tout petit. Grâce à leur soutien, il était en avance sur ses camarades en matière de football. Nous voyons ses parents l’encourager, son père dire combien sa précision s’était améliorée et sa mère dire qu’il pourrait devenir le meilleur du monde.
Mais Hyori voulait jouer avec ses amis comme un enfant normal. Il a choisi de jouer au football juste pour faire plaisir à ses parents. Nous voyons ses parents se disputer au sujet de l’avenir de Hyori et de la meilleure façon de l’élever, mais ils commencent progressivement à prendre les formes démoniaques de Bachira.
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Hyori commence à penser qu’il ne veut pas être le meilleur au monde. Ensuite, ses parents le voient descendre les escaliers avec une coupure à la jambe et entrent en mode panique totale, au point que sa mère appelle même une ambulance.
Le chapitre se poursuit avec Hyori, dans sa chambre, en train de jouer à une sorte de jeu de tir en pensant aux paramètres des personnages. Ensuite, nous voyons Karasu parler à Hyori de ses capacités. Il dit à Hyori qu’il est extraordinaire à bien des égards mais qu’il manque de ténacité et que pour cette raison, il ne pourra jamais battre Karasu.
Hyori répond en demandant à Karasu s’il a un but qu’il veut atteindre pour le bien des autres. C’est alors qu’il lui explique qu’il travaille pour atteindre un but qu’il n’a jamais voulu et ce, depuis ses trois ans. Il dit qu’il n’aime plus le football pour cette raison. Karasu répond qu’il ne pense pas comme ça, il pense à ce qu’il veut avant les autres. Hyori commence alors à avoir une sorte de crise d’identité. Que serait-il devenu s’il avait pensé un peu plus à ce qu’il voulait lui ?
